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Par estrellita64 le 18 Mars 2013 à 18:07
Pour voir autre chose que le mauvais temps
BONNE SEMAINE POUR VOUS TOUS !
Je crois que mon article est un peu fouillis !!!
ASCAIN ? Village au pied de la Rhune.
La RHUNE ? Montagne la plus proche de l'océan .
QUEL OCEAN ? Atlantique .
CE PETIT JEU PEUT DURER LONGTEMPS .......&&&&µµµµ££££§§§§
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Par estrellita64 le 11 Mars 2013 à 17:42
Au Pays Basque, il n'y a pas de village qui n'ait son fronton pour le jeu de pelote. Il existe, en fait, deux sortes de frontons : le fronton à un mur ou frontis, et celui qui comporte un frontis et un mur à sa gauche. Souvent, le fronton se trouve près de la place du bourg, non loin de l'église et de Herriko-Etxea (la mairie) ou Udal-Etxea. Quelques maisons du village ont vue directe sur le fronton depuis leur balcon.
La pelote basque, comme la plupart des jeux de balle, est issue du jeu de paume. Elle se pratique principalement dans le sud ouest de la France (Pays Basque, Landes, Béarn, Gironde), en Espagne, et plus généralement dans tous les pays ayant vécu une immigration basque (Amérique); mais on peut bien entendu trouver des pratiquants ailleurs.
La "Pala" est le nom donné à une raquette en bois lourde et pleine, utilisée pour différents types de jeux comme la Pala, Pala Corta, Paleta, Paleta Gomme (dont la taille de la raquette varie). Tous ces jeux se jouent avec une pelote de 100gm environ.
Le "Chistera" est un gant de cuir prolongé par un panier de forme courbe et allongée, dont l' extrémité arrondie est appelée punta (pointe), utilisé pour jouer au "Chistera" et "Cesta Punta". Le contre bois (appelé aussi Taco) est une traverse sur laquelle vient se fixer le cerceau (ou montant). Ces deux éléments forment l' armature du chistera. Les côtes (ou lattes), au nombre de 13, sont des nervures plates. Liées par une vannerie d' osier, elles forment la cavité du chistera.
De fabrication artisanale, certains ont bien essayé d' en fabriquer industriellement, en plastique. Mais cela n' a pas été possible car le plastique ne résiste pas aux changements de température. De plus, le chistera en plastique n' a pas la même souplesse que le vrai chistera. Les fabricants ne travaillent que sur commande.Le "Jaï-Alaï" est un fronton couvert qui abrite sa "cancha" (56 m de long) où l' on joue exclusivement à la Cesta Punta. Le jeu utilise 3 murs: devant (11.5m en largeur x 10.5m en hauteur), derrière (10.5m en largeur x 9.0m en hauteur) et le mur à gauche qui est divisé en 14 "cuadros" (numérotés de 1 à 14 à 4m d' intervalle ); sur la droite du court il y a un filet de 3,5m de haut pour protéger le public, assis dans les tribunes, des balles très rapides. Deux équipes de deux s' affrontent pour une partie de 35 points. Le service se fait avec le chistera du cuadros 11 (44mètres) et après avoir touché le mur de devant, la pelote doit rebondir entre les cuadros 4 et 7. Si la pelote rebondit avant le quatrième cuadros (appelé "falta"), les engageurs perdent le point et l' autre équipe sert à son tour. Si la pelote rebondit après le septième cuadros (appelé "pasa"), c' est une demie faute et l' équipe a une deuxième chance pour servir.
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Par estrellita64 le 4 Mars 2013 à 18:31
Afin de mieux desservir le centre-ville de Biarritz, un embranchement de 3,5 kilomètres est ouvert le 28 février 1911 entre la gare de la Négresse (actuelle gare de Biarritz), située sur la ligne d'Espagne (ligne de Bordeaux-Saint-Jean à Irun), à une nouvelle gare, baptisée Biarritz-Ville, située sur le plateau de Montloris. Cet embranchement emprunte un tunnel courbe d'une longueur de 495 m entre La Négresse et le lac Marion, et aboutit au niveau d'un bâtiment voyageurs que certains journalistes qualifient alors de « plus belle et plus élégante des gares françaises », conçue pour convenir aux personnalités fréquentant alors la station balnéaire de Biarritz, « séjour préféré des souverains ».
Desservie par quelques trains directs, comme le Sud-Express ou le Côte basque, la gare de Biarritz-Ville est toutefois essentiellement visitée par des voitures directes détachées ou rattachées au train en provenance ou à destination d'Hendaye, et par des navettes, souvent exploitées à l'aide de matériel ancien. L'activité de trains auto-couchettes y est importante durant les années 60. Toutefois, l'insistance de la municipalité qui convoite les terrains de la gare, associé à la vétusté grandissante des installations de Biarritz-Ville, conduisent au report du chantier auto-couchettes à la gare de La Négresse et à la fermeture totale de l'antenne en date du 14 septembre 1980.
Aujourd'hui restauré, le bâtiment-voyageurs de Biarritz-Ville fait désormais partie d'un ensemble immobilier destiné à la tenue de spectacles et congrès
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Par estrellita64 le 26 Février 2013 à 09:42
AINHOA
C’est dans la première moitié du 13e siècle que des moines Prémontés décidèrent de créer dans cette zone de pâturages, coupée de bois de chênes et peuplée de bergers transhumants, l’un de leurs cinq vicariats prévus sur la route de Compostelle.
Propriété de Juan Perez de Baztan, haut personnage de la cour de Navarre, il fut convenu que ce petit vicariat formerait enclave sur la propriété seigneuriale.
Ce serait le bourg d’Ainhoa, un village-bastide aux maisons parfaitement alignées de chaque côté d’une large avenue.Aux frontières du Labourd et de la Navarre
Le village connut de nombreux avatars sous la suzeraineté anglaise : disputé entre l’Angleterre et la Navarre au 13e siècle et 14e siècle puis terre indivise entre les deux royaumes, ce n’est qu’en 1451, sous Charles VII, qu’Ainhoa redevient une commune française.Sous la Révolution
La tourmente révolutionnaire de 1789 atteignit profondément la vie religieuse du Pays Basque mais l’abolition des signes de foi chrétienne ne se fit pas sans une vive résistance. L’église d’Ainhoa, fermée au culte, fut transformée en magasin à fourrages mais les paroissiens, restés fidèles à leur foi, allaient clandestinement à l’abbaye d’Urdax.Au centre du village, non loin de la Mairie et de l’église se dresse le traditionnel fronton.
Témoin privilégié, il est un des acteurs des fêtes et de la vie du bourg.
Le fronton d’Ainhoa a été construit en 1849.
Sa présence est intimement liée à l’importance des sports de balle (pelote) dans les villages basques.
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