• Je reviens d'un séjour au Pays basque

     

     

    J'ai fait de belles balades au bord de la Nivelle

     

    Les piétons peuvent se promener tranquilles loin de la route et des voitures

    Je suis mêmeallée sur la plage ... temps estival !

     

     

    Le phare à l'entrée du port

     

    Puis le temps s'est dégradé : fortes marées et pluie abondante . Vous connaissez la suite. Le département a été en vigilance orange. 

     

    Le calme est revenu . Nous voilà en novembre, je suis rentée chez moi

    A bientôt pour d'autres nouvelles !

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Le moment présent est la piste désignée à tout nouveau départ.  »

    de Louis-Marie Parent

     

    Blog en pause pour quelques jours.

    Bonne journée à tous

     

     


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  • ORAGES

     

    NOUVELLES DU JOUR

     

    NOUVELLES DU JOUR


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    De ta tige détachée,
    Pauvre feuille desséchée,
    Où vas-tu ? - Je n'en sais rien.
    L'orage a brisé le chêne
    Qui seul était mon soutien.


    De son inconstante haleine
    Le zéphyr ou l'aquilon
    Depuis ce jour me promène
    De la forêt à la plaine,
    De la montagne au vallon.


    Je vais où le vent me mène,
    Sans me plaindre ou m'effrayer:
    Je vais où va toute chose,
    Où va la feuille de rose
    Et la feuille de laurier.

     

     

    Antoine Vincent Arnault (1766 - 1834)
    (secrétaire perpétuel de l'Académie Française)


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      Fantaisie-Gerard-de-NERVAL.jpg

    Il est un air pour qui je donnerais

    Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber,

    Un air très-vieux, languissant et funèbre,

    Qui pour moi seul a des charmes secrets.

     

    Or, chaque fois que je viens à l'entendre,

    De deux cents ans mon âme rajeunit :

    C'est sous Louis treize; et je crois voir s'étendre

    Un coteau vert, que le couchant jaunit,

     

    Puis un château de brique à coins de pierre,

    Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs,

    Ceint de grands parcs, avec une rivière

    Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ;

     

    Puis une dame, à sa haute fenêtre,

    Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens,

    Que dans une autre existence peut-être,

    J'ai déjà vue... et dont je me souviens !

    Gérard de Nerval


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